Résumé en 8 minutes 23
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La Commune de Paris en 1871 par Henri GUILLEMAIN
On apprend à 8:40 qu’Adolphe THIERS a fait un périple en Europe.
Il cherchait à s’assurer une légitimité internationale auprès des possédants afin de contrer la révolution républicaine française.
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Dans le récit d’Henri GUILLEMAIN les alsaciens/mosellans remarquerons une erreur : Sainte-Marie-aux-Mines, en Alsace, est citée à la place de Sainte-marie-aux-chênes en Moselle.
Pour ceux qui douteraient encore du parti pris habituel de wikipedia voici le roman qu’il en fait :
« En 1871, Adolphe Thiers souhaitait donner de l’espace à la place-forte de Belfort devant rester française. Les Allemands, qui n’ignoraient pas la grande valeur du sous-sol, acceptèrent à condition de récupérer à leur profit des communes en déplaçant vers l’ouest la frontière prévue lors des préliminaires de paix signés à Versailles le 26 février 1871. Les communes de Rédange, Thil, Villerupt, Aumetz, Boulange, Lommerange, Sainte-Marie-aux-Chênes, Vionville devenaient donc allemandes. L’humeur joviale d’un des négociateurs français, Augustin Pouyer-Quertier, qui plaisait à Bismarck, sauva du moins Villerupt : "... Je ne vous eusse pas obligé à devenir Français, dit-il au chancelier Bismarck, et vous me faites Allemand ! — Comment cela ?... Qui vous parle de prendre votre Normandie ?... — La chose est pourtant bien simple : je suis un des principaux actionnaires des forges de Villerupt, et vous voyez bien que, de ce côté, vous me faites Allemand. " Et Villerupt, comme Thil, resta française grâce au normand Augustin Pouyer-Quertier, ministre des finances du gouvernement Thiers. »
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Pour en savoir plus.
Les amis de la commune.
http://www.commune1871.org/